Dans l'émission:

« Le grand direct des médias »

Monsieur Viard déclare que les corridas expriment la « Victoire de l'homme sur l'animalité, la victoire de l'ordre sur le chaos ».

Il déclare aussi que le taureau ne souffre pas... à voir le type de blessures infligées par les picadores puis les banderilleros, à voir comment les mise à mort se passent, je me suis demandé quel type d'analgésique on pourrait bien administrer à cet animal pour éviter ses douleurs...

Un aficionado de la région de Parentis s'exclame que dans ses campagnes on a cette « culture dans les gênes », qu'on ne saurait pas faire la fête sans les taureaux dont il dit que « ce sont des fauves ». Le toro vivrait dans des espaces immenses où il n'a jamais rencontré l'homme...

Christophe Thomas rappelle que le taureau dit de combat, code racial 51, est défini comme animal domestique.

Mr Viard déclare que les anti-corridas « sont des mercenaires. ».. Ils sont payés pour manifester!
Depuis le 7 juin j'ai participé à 4 actions dans le Gers, une à Bayonne et deux dans les Landes. Le dernier week-end m'a coûté au bas mot 500€, entre les frais de déplacement et le manque à gagner.

Ce monsieur ment effrontément mais il y a d'autres mensonges concernant le taureau, voyez la relation de Léa Vicens avec Principito et Califa, la vidéo se termine en parlant d'amitié... « amis pour toujours.. »

Voyez comment l'une de ces « bête fauve » réagit lorsque la même Léa Vicens chute avec son cheval dans une corrida de rejón au Mont de Marsan

Photos « Sud-Ouest »

La dangereuse bête fauve (aux cornes diminuées et couvertes d'un fourreau) bien que déjà piquée de banderilles par la toreador, s'arrête d'une main ferme posée sur son crane...

Je vous laisse juger de la réalité de ce « mundillo » où, selon l'article 521-1 du code pénal, on inflige en public et par dérogation des sévices et cruautés sur des animaux dont on connait l'intelligence et la reconnaissance. Où est le chaos, où est l'animalité?

Le toreador Alvaro Sanlucar s'est luxé l'épaule lors d'une évaluation en « tentadero » de jeunes taureaux à la ganaderia de Fermin Bohorquez.

Pas si isolée que ça la vie du taureau avant sa mise à mort cruelle et théâtralisée.

Tous ces gens avides de grands mots pour justifier leur spectacle sordide sont parfaitement au courant de la réalité de la relation entre l'humain et le taureau.